l'aventure commence

***********hors-jeu************

est-ce que jai dit a quelque part que les brigant était mort?

gisant= étendu sur le sol sans bouger....les 2 inconsien c'est sa qui font non??

ouin ok mais d'habitude quel que qu'un gisant sur le sol est mort mais bon c pas grave

******in game****

oui c'est de ma faute si ces brigant sont par terre. mais c'est aussi de leur faute si il ne m'aurrais pas volé mes deux coffre d'or. alors on peut dire que oui ces moi qui leur a fait ca.

( hors-jeu :Toute fasson, moi jvien juste d'arriver et j'les voit étendu par terre, alors je sais si sont vivant ou pas )

---In-game---

-Je vois....

Le capitaine réfléchi pendant quelque secondes

-Et bien, vu que ces corp sont sur les terres de l'Empire, je réquisitionne leurs posséssions. Fouillé les.

Les 5 gardes s'avancèrent et commencèrent a enlever les armes et armure des brigant

Puis Le capitaine se retourna vers Throm

-Et puis-je vous demander qui ête vous? Ainsi que d'ou venez vous??

je m'appel throm je suis un noble marchand de la contré voisine et sur mon chemin de retour ils mont vollé mes 2 coffre d'or.

je ne sis guerre ou il les on cacher mais jaimerais ben les retrouver car si je rentre encore une fois les main vide ma femme va me tuer.

- Vous n'ête qu'un marchant, et vous avez fait sa a ces brigant???

Le Capitaine sembla suspisieux...

-Et vous venez d'une contré voisine. Venez vous de l'empire?

Les soldats avaient mi tout les possession des bandit dans un tas et était en train de ligoter les bandits

en fait si je suis capable de faire cesi a ces brigant ces par ce que des l'age de de 6 ans jai apris l'usage de la nécromancie. habituellement je me serre de cette capaciter pur faire raigner le bien (je c que sa fait bizzard).

et si je vien de l'empire je nen sais rien si la contré voisine a l'est fait partit de l'empire oui jen fait partit

- Hum...de très étrange pratique... Et non, je ne crois pas que votre compté fasse parti de l'Empire, puisque l'Empire se situ vers l'ouest. Donc, en tant que non-citoyen de l'Empire empruntant des routes impérial, je me vois dans l'obligation de vous demander de payer les taxes de route. Et en plus, vous ête un marchant, donc vous devez nous montrez tous sque vous transporter, et payer la taxe commerciale.

Le capitaine sorti un calepin de son sac, sans toute fois lancher son bouclier

-Donc... La taxe de route....hum....il giffona quelque chose sur sont calepin et la sa fait....oui.....et ensuite la taxe commercial...humhum....il girfonne encore Voila. 15 piece d'or pour la taxe de route, et 20% de la valeur de votre marchandise pour la taxe commerciale.

(hors jeu, je sais pas quel monais est utiliser, alors jai mit pièce d'or pour l'instant...)

en fait comme vous pouvez le voir mon charriot est vide et ttl'or que j'ai est celle que le pretre ma donné (il n'y a meme pas 15 piece d'or) alors si je ne peu retrouver mes coffre je pourrai payer

Le Capitaine se pencha de coté pour regarder le chariot

-Effectivement, il est vide... Et bien, il vous reste la taxe de route a payer, et si vous n'avez pas l'argent, c'est la prison qui vous atten mon chère...alors je vous conseille d'en trouver dans les plus bref délais.

dacor mais la prochaine fois que les force d'émoniaque vous envahi ne faite pas appel a nous ( si nous ne pouvons meme pas compté sur vous pour maider a retrouver l'or que je suis suposé donné a mon roi et bien ne compteé pas sur lui la prochaine fois que vous avez besoin de son aide)

puis il disparu dans un nuage noir

Le Capitaine continua de regarder l'endroit ou était l'autre homme quelque seconde au paravant

-Hum...étrange....très étrange.

Il se grata le menton et se retourna vers ses soldat

-Est-ce que quelqu'un d'entre vous sais de quoi il parlait l'invasion de force démoniaque? Pendant mes 20 ans de service dans l'armer de l'empire, je n'est jamais entendu parler de sa....Bon et bien, amenez ces bandits a Palont et enfermé les. Prenez les chariot que l'homme a laisser ici, et attachez les bien. Gahor, tu reste avec moi. On va continuer a patrouiller.

Les 2 Soldat continuère leur chemin, pendant que les 4 autre attachaient les badit sur le chariot et s'appretait a partir.

quelque heure plus tard les deux gardes vus apparaitre une envellope dans un meme nuage noir

(avec une lettre et les 15 iece d'or qu'ils lui devait)

[/right] cher alakyrr je suis désolé de vous avoir fait faut bon mais je ne pouvais pas risquer d'arriver a mon render vous . dans tout les qua je ne vous dois plus rien mais prener garde ce n'est pas tout le monde qui est aussi patient que moi . peut etre que d'autre profiteront de votre inssoussiance pour passer a traver les maile de votre autoriter.[/center][/code]

Le capitaine lu la lettre attentivement, puis s'adressa a Gahor

- De quoi il parle ? Moin patient? Insoussiance? Nous ne fesons que patrouiller les route de l'Empire, rien de plus. Il yen a qui ne comprenne vraiment rien....

Il prit l'or et la mit dans une bourse, chiffona la lettre et la lanca par dessus son épaule avant de continuer sa patrouille

C'est à ce moment que le petit homme revint... Ayant tout vu de la scène, il était tout perplexe... Haussant les épaules, il reparti vers la ville, ses armes de retour dans ses replis de manteau.

*pensant* Il va falloir éviter ce alakyrr ou quelque chose comme ça... il me semble dangereux. Par contre, j'essaierai de rencontrer, seul à seul, ce metuselam... il semble avoir quelques amis pouvant échanger sa vie...

*Arrivant, tout essoufflé ders buissons touffus*

Ah, vous voilà, Maîîître! Je vous cherchais justement! Cela fait trop longtemps que je me languis de vous... servir!

*Puis, sans attendre de réponse, se saisit de la main du petit homme ert la serre vigoureusement*

Que de joie que de vous servir de bras droit encore une fois, mon Maîîître! J'aime exécuter pour vous toutes les besognes que vous réserviiez à votre bras droit! Alors, quelle sera notre première action, Maîîître?

Commençons par aller à la ville... Nous verrons ensuite si je ne me trouve pas un travail... Tu iras en chercher pour moi aussi, dans diversess tavernes... Je m'occupe des bourgeois, comme d'habitude. Maintenant, rendez-vous dans une journée!

dans les taverne, auberge et marché centrale les gens peuvent entendre plusieurssssss barde parler d'un petit vilage qui a été totalement détruit par des démon.


la milice recrute car a ce qui parrais ils sont en direction "du village le plus pres de de la ou twinop et ethirbein"

*fin du hors-jeu, c'est un post rp, discutez de cela ailleurs*

Arrivé à la ville, Thitenûm entra simplement dans la plus grande maison possible, celle qui semblait la plus riche. Contenant les domestiques qui posaient trop de questions, il alla directement voir le maître des lieux, seul à seul. Il ne sortit de la pièce que quelques heures plus tard, un grand sourire aux lèvres. Et s'en retourna à la taverne où son fidèle bras droit l'attendait.

Bonsouèèèèr Maîîître!

Ma recherce parmi tous ces rustres...musclés... et tout en sueur ne m'a pas appris grand chose... Sauf peut-être que tous ces gens ici présents discutent ferme. Non pas de femmes et de luxure, comme je m'y attendais *un air déçu passa sur son visage*, mais bien de l'Empire. Il semble qu'ils la détestent tous et veulent qu'elle tombe entre de meilleures mains. Malheureusement... les miennes ne sauraient suffire à la tâche, il en faudrait de bien plus grandes, massives, puissantes! Ou, simplement, il faudrait s'atteler à la tâche à plusieurs...

Parfait mon brave! Maintenant, assyons-nous dans la taverne et buvons à notre prochaine mission!

*S'asseyant et buvant, faisant fi des regards des autres*

Es tu sûr de ne pas faire fi-fi hihihih ?

Oui, mon Maîîîître en est bien sûr. Mettez-vous en doute sa virilité?

*Se lève et se prépare au combat*

Venez tââââter de mon bâton, si vous l'ôsez!

*un chevalier en armure se lève dans la salle et vien s'interposer*
Du calme s'il vous plait
vous ne pouver pas vous battre ici!

Mais ce môôôsieur a insulté mon Maîîîître! Je me doigt donc de le venger ici et maintenant, dans un concours d'habileté manuelle!

*S'avance vers l'insultant, la main tendue et le bâton dressé de l'autre*